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HOMEOLOOK, homéopathie, science et médecine ... blog de Philippe Marchat
1 mai 2020

DU MYTHE VACCINAL ET DES MANIPULATIONS QU'IL PERMET

La situation actuelle met au jour, pour qui veut bien réfléchir un peu, l'emprise formidable de la mythologie vaccinale sur nos sociétés. Mythe, par définition intouchable, sacré, tabou et dont la moindre cirtique expose à la mise au ban et à la condamnation unanime. 

L'évocation de la découverte d'un vaccin comme unique solution  est, de ce point de vue, exemplaire et mérite qu'on s'y arrête cat tout est fait pour déformer le réel et faire de cette recherche de vaccin l'unique solution à la situation présente.

           * On entend, ainsi, sans cesse, l'argument (sic) suivant pour jusitifer la nécessité impérative d'un vaccin. "La maladie n'est pas immunisante, nous ne serons pas protégés, et retomberons malades même si nous l'avons déjà eu, c'est pourquoi il nous faut absolument un vaccin". Mais si la maladie n'est pas immunisante, le vaccin (fait avec un "bout" de virus ne pourra pas l'être non plus). l'argument est donc contradictoire en soi, absurde même. Mais, le mythe est là, et il n'y a pas lieu de s'étonner qu'il continue à être sollicité contre toute logique puisque cela fait 40 ans, par exemple, que l'on verse, massivement, et sans aucun succès (mais non sans profit, bien évidemment, pour les laboratoires impliqués dans cette "recherche") de l'argent à la recherche d'un vaccin contre le SIDA qui, parce que, pour le coup, la maladie n'est pas immunisante, n'a jamais été trouvé et a de fortes chances de ne jamais l'être.         

         * Autre antienne inventée et rabachée pour faire du besoin de vaccin une "vérité incontournable". "Le covid 19 va rester, il sera toujours présent, il va nous falloir apprendre à vivre avec". Ah oui, et d'où sort-on de telles certitudes ? Sur quoi sont elles basées ? Le SARS a disparu, Ebola aussi, la grippe H1N1 de même, qui peut dire ce que va devenir ce virus ? Certainement pas moi, en tout cas. Mais pas davantage les trois membres de l'Institut Pasteur présents au Conseil Scientifique dont personne n'a l'air d'interroger la réelle indépendance d'esprit. Ceux-ci n'ont-ils, vraiment, jamais vu et entendu parler de virus qui n'étaient que saisonniers et disparaissaient d'eux mêmes ? 

         * "Le vaccin sera efficace et disponible d'ici huit ou dix mois". Il est assez étonnant, me semble-il, que la même communauté scientifique, médicale et médiatique qui ne se prive pas de critiquer violemment, les soit disant prétentions du professeur Raoult, fasse preuve d'une telle complaisance vis à vis du discours vaccinal actuel. En effet, le professeur Raoult nous entretient d'un traitement connu, disponible, utilisable dès aujourd'hui dont chacun, s'il n'est pas de mauvaise foi, sait qu'il est, globalament, si on respecte ses contre-indiacations, bien toléré. Pourtant, cette communauté de "croyants" dans le salut vaccinal estime que le médecin marseillais affabule et prend ses désirs pour la réalité, qu'il manque de la plus élémentaire prudence scientifique. Par contre, annoncer, dès aujourd'hui, alors qu'on en est à tester des pro-vaccins sur les maccaques, que, "ça y est, c'est sur, on va bientôt dosposer d'un vaccin efficace"  semble, pour eux, le summum de la rigueur scientifique et avoir valeur de certitude bien établie. Ici, nulle prétention, nul "pari" sur l'avenir. On croit rêver. 

          * Relevons, enfin, que personne, médecins, "chercheurs" (c'est à dire salariés des grands groupes industriels pharmaceutiques) et journalistes ne soulèvent la question de la tolérance à venir du dit vaccin, s'il est trouvé un jour. On sait que le covid n'est guère dangereux, en soi, mais par la surprenante et non maitrisable réaction immunitaire qu'il provoque dans l'organisme. Et personne n'a l'air de se demander si le vaccin ne risque pas, assez logiquement me semble-t-il, de provoquer, lui aussi, un emballement de cette réaction chez certains sujets "sensibles". Le "remède'"serait alors bien redoutable. Mais le mythe vaccinal interdit de poser la question. Un vaccin, c'est forcément bon, efficace et bien toléré. 

          * SI je parle de mythe vaccinal, c'est, aussi,en raison des fondements de la croyance qu'il suscite. L'on sait, ici, le rôle joué par l'exemple, véritablement élevé au rang de mythe, de l'éradication de la variole de la planète. Mais que cette éradication ait été le fruit de la vaccination de masse est une légende. Et il suffit pour le constater d'aller sur le site même de l'OMS qui rappelle, à juste titre, que la vaccination anti-variolique de masse a été un échec et que l'éradication de la variole a, avant tout, reposé, sur une politique de "containment", c'est à dire de "mise en quarantaine (tiens, cela nous rappelle quelque chose) des foyers et zones touchés par la maladie avec vaccination des seules populations entourant ces foyers. La vaccination a donc, c'est indiscutable, eu sa part dans cette éradication mais elle n'a nullement possédé le rôle majeur et "magique" que le mythe vaccinal lui prête depuis des décennies. 

          Mais, chut, il ne faut pas toucher aux mythes ... surtout quand ceux-ci permettent aux multinationales de l'industrie phamaceutique de se constituer des rentes de situation. 

 

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